Sochy boli umiestnené na streche katedrály.
Odbornik v rádiu hovoril, že objekty s veľkou váhou, ( čo v tomto prípade nebolo), sa pri prenášaní rozpolia napoly, aby váha bola rozložená. Odťatie hláv apoštolom, aby socha bola ľahšia, nemá logiku. Pripomínam, že všetky kostoly vo Francúzsku vlastní štát, teda za skazonosným a hanebným spôsobom narábania so sochami apoštolov stojí niekto z vládnucích. Vlastne stojí za tým zosobnené Zlo. Tento brutálny akt len poukazuje, čo mienili urobiť a aj urobili, s katedrálou. A čo mienia urobiť, a už robia s kresťanstvom. L
Rituálna poprava kresťanstva skrytá za rekonštrukciu sôch
Aký barbar odpíli hrubo hlavu soche, pod zámienkou snímania z budovy – sochy mali len okolo 250 kg a dali sa žeriavom zložiť bez rozpílenia.
Ale pri francúzskej revolúcii tiež odbili hlavy sochám panovníkov, ktoré boli v chráme.
Incendie de Notre-Dame : le miracle des statues des apôtres et des évangélistes
Douze statues des apôtres et celle des quatre évangélistes ont réussi à échapper aux flammes, lundi soir, et pour cause, elles avaient été déplacées de la cathédrale Notre-Dame vers les ateliers d’une entreprise de Dordogne, près de Périgueux, dans le cadre d’un programme de restauration, quelques jours avant l’incendie. « En regardant les terribles images de la cathédrale en feu, j’ai réalisé que notre atelier était désormais le refuge de pièces uniques au monde et les ultimes traces du formidable travail de l’architecte Viollet-le-Duc en 1859 », confie Patrick Palem, fondateur de la Socra, l’entreprise périgourdine spécialisée dans la rénovation et la restauration d’œuvres d’art.
Les 12 statues de 3,40 m de hauteur et de 150 kg chacune sont encore posées sur des palettes en bois, leurs têtes à leurs pieds. Une manipulation nécessaire pour leur transport qui a été effectué jeudi dernier, entre Paris et Marsiac-sur-l’Isle : « Lorsque nous les avons vues arriver dans nos ateliers après de longues manœuvres minutieuses avec une grue, on a tous poussé un ouf de soulagement en se disant qu’on avait de la chance de pouvoir travailler sur ces œuvres incroyables.
Personne ne se doutait du drame qui allait arriver quelques jours après. » Une chose est sûre : si les statues étaient restées dans la cathédrale, elles n’auraient eu aucune chance, selon Patrick Pelem. « Elles ornaient le pied de la flèche et avec les températures de plusieurs centaines de degrés de l’incendie, leurs structures en cuivre n’auraient pas résisté longtemps. Elles auraient fondu et il ne resterait absolument rien d’elles. » Le coq retrouvé devait aussi y être restauré Désormais, ces statues vont faire l’objet de toutes les attentions, même si le calendrier de leur restauration reste flou. « En principe, nous devions les ramener à Paris en 2022, mais aujourd’hui nous n’avons aucune information. Nous allons commencer comme prévu par une restauration des structures qui sont totalement rouillées. Ensuite, nous établirons un programme avec les autorités », précise Patrick Palem. La Socra devait également restaurer le coq en cuivre situé au sommet de la flèche.
Nommé le paratonnerre spirituel – car il abrite des reliques de Saint-Denis et Sainte-Geneviève –, il devait être décroché dans le courant du mois de juin pour faire le voyage vers le Périgord. Il a été retrouvé, mardi, parmi les débris.
Miraculé, lui aussi.